La forêt










Vous décidez de traverser la forêt en face de vous. Malheureusement, ce qui ne semblait être qu'un petit bois se révèle être un véritable dédale de verdure. Au bout d'un moment, les deux chemins qui s'offrent à vous vous paraissent dangereux. Vous ne pouvez pas faire demi-tour, car vous savez que vous allez vous perdre. Alors? Que décidez-vous? Le chemin de droite, duquel vous entendez des grognements assez imposants, ou le chemin de gauche, duquel vous entendez des bruits de pas assourdissants?

GaucheDroite












































Vous avez donc décidé de prendre à gauche. Au fur et à mesure de votre avancé dans ce lieu inconnu, vous sentez que le danger approche petit à petit, pendant que le son des pas se fait de plus en plus fort... Vous avez extrêmement peur, et cette peur ne vous quittera pas de si tôt... En continuant votre chemin dans ce labyrinhe de feuilles, vous tombez nez à nez avec un elfe, qui vous regarde avec mépris (sûrement un Haut-Elfe, qui sont connu pour être une bande de sale prétentieux). Ce regard vous énerve au plus haut point, et l'elfe n'est pas armé. Alors? Que faites-vous? Le maltraitez-vous pour le punir de cet affront? Ou alors continuez vous votre chemin comme si de rien n'était?

Le maltraiterContinuer





















































Ainsi, vous avez préféré jouer la sécurité. En même temps, on ne sait jamais quelle maladie ou autre chose horrible un elfe aurait pu vous refilez... Vous continuez votre chemin entre les branches et les épines, et, après une randonnée assez aventureuses, vous arrivez dans une clairière. Cependant, vous vous rendez rapidement compte que les bruits de pas qui vous effrayaient auparavant viennent en fait d'ici. En effet, un gigantesque troll se balade ici. Vous essayez de vous cacher, mais il déjà trop tard: le troll vous a repéré et a décidé de faire de vous son repas. Il a déjà les pommes pour aller avec, c'est dire.

Suite


















































Vous n'aimez pas qu'on vous énerve, n'est-ce pas? Mais... Mais! Voyons! Calmez-vous! Il n'a rien fait ce pauvre elfe! Certes son peuple peut être assez souvent...comment dire? Irritant, voilà. Mais ce n'est pas une raison pour le maltraiter de la sorte! Voilà, il s'est suicidé avec une branche maintenant! Vous savez bien que les elfes ne plaisantent pas avec ce genre de sujet... Alors pourquoi avoir continuez de lui dire que la forêt c'est de la m... c'est nul? Bon maintenant vous avez un cadavre d'elfe sur les bras... Alors? Que décidez-vous? Emportez son corps pour lui offrir une sépulture digne de ce nom auprès de son peuple (et pas du tout pour vous en servir comme défouloir, non.)? Ou alors le laissez-vous là car vous n'avez pas que ça à faire?

EmporterLaisser









































Vous avez donc préféré vous encombrez encore plus dans un voyage qui n'est déjà pas des plus simple... Vous n'êtes vraiment pas malin, n'est-ce-pas? Je m'en doutais... Bon, passons. Vous continuez votre chemin entre les branches et les épines, et, après une randonnée assez aventureuse, vous arrivez dans une clairière. Cependant, vous vous rendez rapidement compte que les bruits de pas qui vous effrayaient auparavant viennent en fait d'ici. En effet, un gigantesque troll se balade ici. Vous essayez de vous cacher, mais il déjà trop tard: le troll vous a repéré et a décidé de faire de vous son repas. Il a déjà les pommes pour aller avec, c'est dire. Mais pourtant, le troll n'a pas l'air directement attiré par vous, mais par l'elfe que vous transportez. Il se jète sur vous, vous l'arrache des mains, et s'en va le dévorer, avec ses pommes. Vous passez donc sans aucun soucis, et vous parvenez ainsi à sortir de la forêt.

Suite





























Vous avez donc décidé de prendre à droite. Vous vous sentez de plus en plus en danger, et les grognements se font de plus en plus fort... Vous essayez de faire le moins de bruit possible, mais ce n'est pas facile avec toutes les branches et feuilles mortes qui jonchent le sol... Les grognements se font de plus en plus fort... Les branches se font de plus en plus nombreuses... Vous sentez que vous approchez d'un grand danger, mais impossible de dire de quoi il s'agit... En continuant votre chemin à travers les fourrés, vous tombez sur une grande clairière. Au milieu se distingue une imposante silhouette rouge vif. Les grognements semblent venir de là... En vous approchant, vous remarquez que cette silhouette est celle d'un dragon rouge (un des plus dangereux) endormi et que les grognements sont en fait ses ronflements. Alors? Que décidez-vous? Le tuer pendant qu'il dort et ainsi avoir un statut de héros dans tout le royaume, ou alors de passer en faisant le moins de bruit possible pour ne pas le réveiller?

Le tuerL'éviter






















































Vous avez donc décidez de jouer au héros. Vous sortez votre épée de son fourreau, la soulevez au-dessus de votre tête, elle brille au soleil tel mille diamants, et, dans un cri de rage, votre lame s'abbat avec fracas sur la cuirasse écailleuse de la bête, puis un son aigu et assez perçant se fait entendre. Vous êtes fier de votre exploit. Cependant, le son que vous avez entendu n'était rien d'autre que le fer de votre lame se brisant sur les écailles du monstre, son qui a par ailleurs permis le réveil du dragon.

Suite









































Vous n'êtes pas si insensé que vous en avez l'air finalement. Vous contournez donc la créature en faisant très attention à ne pas la réveiller. La peur a maintenant fait de vous son esclave: vous vous situez au niveau de sa tête à présent. Un seul de ses ronflements a suffi pour vous faire détaler comme un lapin. Vous courez jusqu'à en perdre haleine pour éviter qu'il ne vous rattrape si il venait à se réveiller. Vous reprenez votre souffle, jetez quelques coups d'oeil furtif derrière vous, puis continuez votre chemin en marchant cette fois-ci. Vous tombez de cette façon sur un sentier, au beau mileu de ce dédale verdâtre, que vous vous mettez à suivre sans hésitation. Et vous avez bien fait, car, une fois au bout, vous appercevez une lumière au milieu des arbres. Vous courez vers cet éclat, et vous voilà enfin en dehors de cette forêt.

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